mardi 27 juillet 2010

Les spécialités normandes



    1/ Souvent je me persuade que je ne suis pas comme tout le monde, que j'ai quelque chose d'unique qui, un jour viendra, fera la « diff ». Que ce soit quelque chose de spécial ou quelque chose en moi de Tennessee, cette petite distinction ferait de moi ce que je mérite d' être.


Arriver a ses fins sans en foutre une, en voila une belle ambition.


    J'espère chaque jour que cet « alter-comportementalo-personalo-moi » sera décelé par un recruteur, un acteur, un ministre, un producteur, un hardeur, en somme, une personne qui a réussi à accéder à un poste de rêve que je résumerais de la phrase qui suit : Gros salaire, sans trop en faire. (mis à part le hardeur). Mon coté ironique pourrait convenir à des humoristes ou des politiques, que sais-je ?

    J'ai un petit pécule avoisinant les quatre chiffres avec un 1 devant, si cela intéresse des producteurs ? Ouuuh, je vous vois déjà vous lécher les babines en pensant à cette somme considérable ! Sachez avant tout que je ne suis pas un garçon facile ! ...Bref

    Concernant l'acteur, je joue très bien le mec qui travaille ! Demandez à mon patron ou à ma famille ! Moi aussi je suis The Special One ! Mais si...




    2/ Au fond. Force est de constater que je suis comme les autres. Comme évoqué lors du tout premier article, je ne suis qu'une fourmi ouvrière dans ce tas d'insectes que sont les hommes, ouvriers ou non. Le pire étant que je n arrive pas a porter soixante fois mon poids :/ (On sent le mec qui a étudier les fourmis en 2nd cycle... ou qui a joué à ANT sur son ordinateur 3.1 étant plus jeune)
    Non je ne suis ni distinct, ni propre, ni personnel mais par contre, je suis personnellement propre et distingué. En fin de comptes, je suis typique. Remarque, c'est bien aussi typique, il y a un « y » dedans, c'est joli comme lettre.

    En fait, je suis pareil que vous, bande de petits grouillots.
    Je ne donne pas d'argent à Solidarité Sida lorsque ses représentants m'accoste rue Caumartin. Je vais même jusqu'à les fuir en rallongeant mon itinéraire. Je pisse sous l'eau très chaude brulant les parties les plus sensiblement intimes de mon corps. Je m'agace au plus haut point lorsque mes écouteurs s'entremêlent jusqu'à la mort alors que je les ai fourrés dans ma poche juste cinq minutes. C'est du pareil au même lorsqu'il s'agit de cintres.. Lesdits cintres sont vraiment complètement dépendants les uns des autres, c'est chiant !
    Je parais boudeur voire désagréable dans les transports en commun, je le deviens si l'on vient a me parler. Je n'aime pas travailler et j'espère avoir un gros salaire. J'achète qu'en période de soldes. Je sème des gaz comme Mario sème des carapaces vertes ou rouge. Et tout comme vous, mon envie de chier est d'autant plus grande quand j'atteins mon but : les WC. J'aime pas quand j'ai mal et je suis content quand j'ai pas mal.


En m'essayant à la création musicale, à l'écriture et à l'école de commerce, je tâche de mettre toutes les chances de mon coté. Veillez à bien éteindre la lumière en partant.

vendredi 9 juillet 2010

Les violences aux personnes – Le point noir de la délinquance !



==> 90 % des brèves sont réutilisables de manière illimitée


Bien souvent, je m'imagine journaliste, à rédiger articles sur articles au quotidien. Mais ces écrivains sont-ils dépendants de l'information ou de la volonté de la rédaction, qui, elle même dépendrait de la volonté d'organisations gouvernementales quelconques, qui dépendrait de ... ?

Une étude du cabinet « emeraude onze » révèle que 90 % des informations lues dans la presse, vues à la télévision sont répétées et, donc réutilisables.

La tendance étant au tri des déchets pour une planète plus saine, pourquoi ne pas pratiquer un tri des informations ? Allons y pour le développement durable moderne.

Ce comportement bio, commencerait par jeter progressivement les infos, comme celle illustrée. Pas d'inquiétude, elles sont bio-dégradables.

Analysons cette photo :

Étant assez paranoïaque, très curieux de tout complots ou arrangements, je me demande si le journaliste qui a écrit cet article a la volonté d'assimiler le noir de la photographie au point noir des délinquances. Est-ce tout simplement moi qui broie du noir et qui fait excès de paranoïa ?

En tout cas, si cela s'avère véritable, ne devrait-il pas changer de service ? Pourquoi pas le service culturel où il pourrait pratiquer son humour décalé.

Ce journal que je ne citerais pas, Direct matin, estime t-il que les noirs sont des points ? Nous, les blancs, en marge des responsabilités des émeutes, sommes nous simples virgules ?

Je m'emmêle les pinceaux dans tout ça, j'y mettrais donc un point final.

Catégories d'informations rébarbatives :

  • La crise économique
  • La violence
  • Nicolas Sarkozy


lundi 5 juillet 2010

« J'veux du soleil, j'veux du soleil, j'veux du soleil, j'veux du soleiiiiiiiiiiiiil... »

Une envie me prend, celle de parler d'un sujet qui plaira à tout le monde.

Comment puis-je être aussi sûr que ce sujet soit universel ? Parce que dans ce texte, j'éviterais de traiter des thèmes qui fâchent certains tels que la religion, la politique ou le port de slip sur gazon fraîchement tondu du voile.

Je vais parler soleil, tâcher d'éveiller des sens et, au moins ajouter un brin de chaleur dans vos cœurs. Voici pour la partie que j'appellerais « Yannick Noah Part ».


« Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ». Il est d'ores et déjà essentiel de compléter cette citation par quelques mots : « surtout l'été , l'était ? ». Ne me dites pas que vous n'avez jamais remarqué que les filles étaient plus jolies. Sachez pertinemment que les salles de musculation font recettes courant mai / juin. Entre les misstinguettes s'évanouissant à divers régimes et les misstingay se saignant au levage de fonte, le monde devient d'un coup plus beau !

Oh non, il n'y a pas que les tablettes de chocolat ou les bourrelets soudainement cachés. Il y a aussi, et surtout, le prêt à porter qui fait ravir, parfois même durcir les riverains.

Il faut se l'avouer, les jupes se raccourcissent et les cuisse[s][aux] se montrent au même moment que le soleil. Dès 16 degrés, le topless est de rigueur chez les nudistes. Nous les remarquons d'ailleurs dans l'ouest parisien dans une ville commençant par « Bou » et finissant par « -ogne »

Les podologues (non, non, c'est pas ça, tu dois confondre avec pédophile) se font une joie de voir venir l'été. Leurs agendas croulent sous les rendez-vous à cette période de l'année.

Les pédophiles cette (7) fois, euh, les fétichistes pardon sont les hommes les plus heureux du monde, ils bénissent les tongues, genre de string pour pieds (on me l'a soufflé), adorent les claquettes et les sandales mais ont horreur des bottes ! Pardonnez ma nuance mais j'ai toujours trouvé les fétichistes assez malsains...

Dans une autre vision, je pense que les clochards doivent sourire à la vie lors de l'été. Je me suis, par ailleurs, toujours demandé pourquoi n'allaient t-ils pas survivre dans le sud de la France, là où il fait tout de même une meilleure température. Ils ne mesurent pas la chance qu'ils ont de dormir toutes les nuits à la belle étoile, de faire grasse matinée sur grasse matinée. Je ne sais pas ce qui leurs faut de plus. Qu'aies-je fait au bon Dieu pour ne pas mériter ça ? En tout cas, « il me semble que la misère serait moins pénible au soleil ».





Au même titre que ceux qui salivent d'impatience à l'idée de bronzer, il y a ceux qui n'attendent pas l'été, pire même puisqu'ils le redoutent.

Pour rester sur le thème de l'apparence, les gens moches savent très bien qu'on les verra mieux. Un teint halé ajoute à la laideur d'un homme. S'en suivront donc les crachas, les critiques et autres moqueries, je dois le dire, bien légitimes.

Après mûre réflexion et, pour ne pas faire un couplet « coller » du paragraphe précédent, j'ai remarqué que nos patrons n'étaient pas fans de ces quatre mois non plus. Tout simplement parce qu'en mai, il y a Roland Garros, en juin, c'est le Mondial ou l'Euro, en juillet, c'est l'Euro ou le Mondial et le Tour de France.

Enfin, en août, il faut bien se reposer de toutes ces compétitions et, de toute façon, les championnats du monde de basket et de handball commencent.

Au rayon des métiers qui se contrefichent de cette saison se trouvent, les chauffagistes, les cheminots (fabricants des cheminées en somme), les allumeuses, les allumettes... Je dis qu'ils s'en moquent mais en vérité, c'est pire. Personnellement, je n'ai aucun besoin de me chauffer davantage.

Sans compter les allergiques ! Ne pouvant s'exposer au soleil sous peine de fondre, ils sortent toujours accompagné d'un parasol. C'est original mais il est évident qu'ils préfèreraient vivre en Normandy (BIGGUP).

Nous collons tous durant l'été, c'est ce qui s'appelle la transpiration. Seulement, des personnes sont à plaindre : les obèses. Parce que ces gens-là, les autres... suent à n'en plus finir, parfois même te goutte dessus à la manière d'une verge énervée ! Ces gens-là suffoquent, te font pitié, titubent pour faire deux mètres et sont souvent râleurs.

Pour en terminer sur ce post, je tiens à mettre du rêve dans mes écrits, une seule phrase suffira :

Un été, ligne 13 du métro parisien rempli de gros et de gens qui puent sous une chaleur de chien.. avec des chiens !